Un chien andalou, 1929

Luis Bunuel & Salvador Dali

Dans le registre film étendards, celui-là se pose là : 16 minutes de délire visuel poétique, incompréhensible, politique, anticlérical, mystique, psychanalytique… signé Luis Bunuel et Salvador Dali.
Le métrage devient un manifeste du surréalisme et continue d’inspirer des clips dans le monde entier, l’oeil tranché devient l’un des plans les plus emblématiques du 7e art.
Goguenards et finalement assez punk, ses 2 instigateurs ont toujours refusé d’y apporter le moindre éclaircissement.
Pour la postérité de l’oeuvre, on leur saura gré de ne rien expliquer. Et puis on leur donnera raison de rire en pensant qu’aujourd’hui, la majorité des films se monte à l’aide d’innombrables feuillets explicatifs…

~ par 50 ans de cinéma sur 10 août 2017.

3 Réponses to “Un chien andalou, 1929”

  1. Une majestueuse cathédrale conceptuelle vu de l’extérieur, bordélique et foutraque à l’intérieur et qui sonne pourtant creux. C’est qu’il n’y a rien à comprendre.

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