La chambre verte, 1978
François Truffaut
Un homme vit dans le souvenir de sa femme morte et a amenagé, dans sa maison, une chambre vouée au culte de son épouse.
Où lorsque le cinéaste-cinéphile ultime dévoile tout : Cette chambre verte, c’est un peu ses cahiers jaunes. Un mausolée aux artistes défunts, un sanctuaire pour les âmes en peine qui ne les connaîtront jamais, mais tâcheront de maintenir le culte.Oui, la cinéphilie, c’est religieux ! C’est romantique ! C’est donc aussi profondément morbide. S’agit-il d’autre chose que d’habiter le monde des fantômes ?