L’entraîneuse fatale, 1941
Manpower
Raoul Walsh
Sous le joug du code Hays, le cinéma américain va se rappeler d’un joli concept : la métaphore.
Avec son aide, il s’inventera une modernité, sans renier son répertoire expressionniste originel.
C’est ainsi que l’on peut raconter l’éternelle histoire de 2 hommes amoureux de la même femme en déplaçant la tension sexuelle dans le métier des personnages (2 installateurs de lignes électriques) et en sublimant la charge tragique à travers les regards de Marlene Dietrich.
Tout cela produit, en effet, des étincelles…