No country for old men, 2008

Joel & Ethan Coen

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La bande annonce tournait au son de « Young men dead » des Black Angels.
Le film des Coen n’a qu’un défaut, ne pas avoir conservé cette super chanson dans leur BO.

Les Black Angels nous amènent tout de même au style et au thème des cinéastes: la country, la musique et le lieu. A propos de lieu, les frangins géniaux s’étaient quelque peu perdus, ces dernières années.
Les voilà de retour, back to basic, comme Johnny Cash, sauvé par le producteur Rick Rubin dans les années 90.

L’album est somptueux. Il s’ouvre sur une plage faussement élégiaque, dont la douceur est lourde de menaces, le minéral Josh Broslin découvre le terrain des hostilités, the man comes around.
Par la suite, 3 pic d’adrénaline secoueront le public transi, dans des scènes d’action topographiques où Broslin, Hercule fragile, affronte le dieu de la mort interprété par Javier Bardem. Hurt.
Le ride s’achève sur un poème crépusculaire, laissé aux bons soins de Tommy Lee Jones. The mercy seat.

~ par 50 ans de cinéma sur 12 décembre 2014.

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