Witness, 1985

Peter Weir

6a00d83423522453ef013489ac89e9970c-500wi

Après de belles divagations new age dans son Australie natale, Peter Weir investit Hollywood en illuminé.

De cette confrontation naîtront des oeuvres fascinantes et excessives, exclusivement préoccupées par la question de la Foi. Cette obsession conduira parfois le cinéaste dans des impasses de naïveté (« Le cercle des poètes disparus », « The Truman show »).

Mais l’homme a les moyens de ses convictions. Dirigeant le janséniste Harrison Ford (dont le jeu est, pour le coup, vraiment fordien) sur le fil d’une tragédie oscillant entre panthéisme et hyperviolence, Weir réalise le grand film néoclassique de la décennie.

~ par 50 ans de cinéma sur 15 octobre 2014.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

 
%d blogueurs aiment cette page :