Trafico, 1999
Joao Botelho
Ce théâtre bariolé ne pourrait être qu’enchanteur. Ambiance lounge, goût des couleurs digne d’Almodovar et situations absurdes en cascade.
Mais progressivement, Bothelo inquiète. Tout cela ne cache-t-il pas un plan ? Le trafic dont il est question ne serait-il pas celui des images ? Les mafieux de carnaval seraient alors les petites mains d’une société du spectacle toujours plus séduisante mais dont plus personne ne saurait ignorer le terrible secret.
Elle est cannibale !