Trafico, 1999

Joao Botelho

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Ce théâtre bariolé ne pourrait être qu’enchanteur. Ambiance lounge, goût des couleurs digne d’Almodovar et situations absurdes en cascade.

Mais progressivement, Bothelo inquiète. Tout cela ne cache-t-il pas un plan ? Le trafic dont il est question ne serait-il pas celui des images ? Les mafieux de carnaval seraient alors les petites mains d’une société du spectacle toujours plus séduisante mais dont plus personne ne saurait ignorer le terrible secret.

Elle est cannibale !

 

~ par 50 ans de cinéma sur 22 juin 2014.

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