Les damnés de l’océan, 1928

The docks of New-York

Josef Von Sternberg

The-Docks-of-New-York

A ses débuts, le cinéma n’avait pour clichés que les 24 qui composaient chacune de ses images. En filmant l’histoire d’amour tragique entre une prostituée des ports et un soutier, Von Sternberg rendit la tâche ardue à tous ses successeurs.

Les docks embrumés, les marins torves, les filles de rues aux regards expressionnistes et toute cette faune des bas-fonds qui espère que l’océan pardonne tout… sont gravés dans le celluloïd. Certains disent que filmer Monument Valley, aujourd’hui, revient purement et simplement à plagier John Ford… des clichés donc…

Les successeurs n’auront pas tous le talent de Josef Von Sternberg mais, dans un élan de romantisme, on leur dira que ce n’est pas une raison pour ne pas essayer…

 the docks of new york

~ par 50 ans de cinéma sur 1 octobre 2013.

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